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Témoignage d’une expatriée sur la Turquie

Je suis arrivée en 2000 dans la région d’Izmir, j’avais alors un travail saisonnier de 5 mois dans le tourisme. En 2002, j’ai eu une proposition (grâce a mon réseau) pour un CDI dans un autre secteur d’activité. Je souhaitais m’installer en Turquie alors j’ai saisi l’opportunité !

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La principale difficulté est la langue. Quand on ne parle pas le turc, c’est difficile de chercher un appartement, de comprendre les petites annonces dans les journaux, de savoir où payer les factures, d’installer le câble, de faire les courses à l’épicier du coin, etc… Heureusement les Turcs sont plutôt chaleureux et hospitaliers. Quand ils aident ils le font bien souvent avec le cœur et n’attendent rien en échange. J’ai aussi eu du mal a obtenir mon permis de travail, c’est long, on demande beaucoup d’argent, de justificatifs, de papiers, et les longues heures d’attente font partie du lot ! A renouveler chaque année…

J’aime cette chaleur et cette notion d’hospitalité qui se dégagent de la plupart des Turcs. Le dépaysement au quotidien, la cuisine, la beauté et la diversités des paysages, les choses bon marché, Istanbul.

Je déteste… Pas grand chose a vrai dire, si ce n’est le bruit des klaxons qui raisonne sans arrêt, la conduite dangereuse des chauffeurs de taxi, les fumeurs qui sont en grand nombre et qui peuvent fumer partout ! Je n’aime pas non plus les changements d’avis / de plans des Turcs. Ils ne sont pas aussi « carrés » que nous les européens. Ils prévoient des choses le week-end d’après, annulent, puis reviennent sur leurs décisions.

Marie-France Gilles

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